L'Intelligence Artificielle: un gadget ou une véritable révolution pour les soins de santé
En direct: Ce jeudi 27 avril à 19h (GMT +1)
En différé: Le mardi 2 mai à 19h (GMT +1)
En différé: Le mercredi 10 mai à 19h (GMT +1)
Interventions de deux chercheurs et d'un développeur respectivement, le docteur Giovanni Briganti (Phd) (Harvard; UMons, ULB), de M. Bruno Bonnechère (Phd) (UHasselt) et M. Etienne Dubois (Hexfit)
L'intelligence artificielle dans les soins de santé a le potentiel de révolutionner la manière dont les professionnels de la santé diagnostiquent et traitent les patients. La technologie permet de traiter de vastes quantités de données médicales en temps réel, ce qui aide les médecins à prendre des décisions plus informées et plus rapidement.
Des algorithmes d'IA tels que les réseaux de neurones profonds peuvent être utilisés pour détecter des anomalies
dans les images médicales, telles que les radiographies et les IRM.
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Les chatbots de santé peuvent fournir des informations sur les symptômes et les options de traitement à des patients, ce qui peut aider à réduire les visites inutiles aux urgences.
L'IA peut également être utilisée pour optimiser les processus de soins, tels que la planification des rendez-vous et la gestion des dossiers médicaux. Cela peut entraîner une amélioration de l'efficacité et une réduction des coûts pour les systèmes de santé.
Il est important de noter que l'IA dans les soins de santé n'est pas sans défis. Les algorithmes doivent être correctement formés pour éviter les biais de données et les erreurs de diagnostic. Il est également important de veiller à ce que les patients comprennent comment l'IA est utilisée pour les soins et que leurs données médicales soient protégées.
En kinésithérapie/physiothérapie, les applications sont tout aussi importantes. Nous assistons à l'émergence de véritables "assistants" capable d'organiser votre planning, de suivre à distance vos patients, de vous aider dans vos "diagnostics" et dans les traitements.
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Quand: le jeudi 27 avril de 19h à 22h (GMT+1)
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En visioconférence
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Participation aux frais: - 20 euros; 10 euros (membres AKBru)
- 10 euros étudiants
Accréditation PQK demandé pour 6 points
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